Dolce Vita de Juan Joseph Ollu (Annika Parance Éditeur)
On est à Paris. Maximilien termine ses études au lycée. C’est l’année du bac. Il est très séduisant, sûr de lui, et il a beaucoup de succès auprès des filles. Jusque-là, la seule chose qui l’intéresse, c’est d’avoir du plaisir, sous toutes ses formes, dans des soirées un peu glauques où alcool, drogue et sexe sont monnaie courante. Mais au fond, la vie qu’il mène l’ennuie.
C’est alors qu’Adrien, un jeune professeur intello et sensible, surgit et sème le trouble dans son esprit. Une relation amoureuse prend forme et il découvre l’homosexualité, s’ouvre à de nouveaux plaisirs.
Très vite, c’est l’amour fou. Physique bien sûr, mais aussi très pur, très beau, une véritable communion entre deux êtres qui découvrent peu à peu leur âme.
Mais les rapports avec Adrien, tourmenté par une récente rupture, sont compliqués.
L’écriture fluide, la langue châtiée décrivent avec une profusion de détails l’atmosphère et l’évolution des sentiments. Et on a vraiment envie de savoir comment tout ça va finir.